Rév. Dr. Luc GILOT | Président & Fondateur 

Né dans une famille chrétienne où mon père Lifène nomme ma mère Marie Madeleine Aurore, respectivement premier diacre de l’Église Baptiste de la rue 14 du Cap-Haïtien et diaconesse de l’Église Baptiste de Dondon.  Ceux-ci m’ont inculqués très tôt les valeurs éthiques, familiales, morales et chrétiennes necessaire à l’éducation que doit recevoir un fils de famille chrétienne.  

 

J’ai donné ma vie à Jésus Christ à l’âge de seize ans, enfant de la promesse que je suis,  dans la deuxième Église Baptiste de Port-au-Prince, alors que je commençais déjà ma carrière comme Evangéliste.

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C’est l’Ange de cette même Église, le feu Dr Cénofa Point-du-Jour, qui m’a plongé dans le eaux de baptême à l’âge de 18 ans. Dès ce moment, j’ai commencé à expérimenter Dieu dans toutes les dimensions de Son Être,

et cela continu jusqu'à aujourd'hui pour la Gloire de Dieu !

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Comment c'est développé cette passion pour les Âmes perdues.

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Plus je préchais l’Évangile sous la pulsion du Saint-Esprit, plus je resssentais en moi les effets positifs de l’éclatement de l’âme évangélique dans ma passion dévorante pour la conquête des âmes à Jesus Christ.

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Quel événement, circonstance vous a amené à créer ce ministère.

 

En Octobre 2011, Dieu m’est apparu comme un Fils d’Homme vêtu de lin blanc, m’intimant Ses consignes à chaque occasion.  Avec la chaleur du timbre de Sa voix majestueuse, le Seigneur m’a

intimé l’ordre de “paître Son troupeau” en raison de mon choix pour proclamer Son

Evangile.”  “Je t’ai confié”, m’a t’Il dit une autre fois, “un Message que tu achemineras à

Mon peuple, et c’est un Message d’avertissement.”  Et il m’avais promis de m’envoyer de l’aide pour Son œuvre en me disant; “Regarde devant toi!” Et je regardais et  je voyais une faible quantité d’hommes et de femmes, environ 11 ou 12,  debout, de dos.

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Dans une autre vision, au-dessus des nuages, cerné d’Anges Célestes, environ une

trentaine, je survolais l’espace du second ciel vers la droite, mes yeux ne voyant aucune trace

de la terre.  Mais à l’extrême droite s’était largement ouverte une porte qui donne accès au

troisième ciel.  Je m’appétais déjà à franchir le seuil de la porte comme les autres anges qui

me devançaient pour explorer l’autre dimension dont mes yeux me transmettaient déjà les

informations quand, m’ayant touché sur l’épaule droite, Dieu, dont la voix m’avait beaucoup

impressionné par la qualité de son timbre, m’avait ordonné de “retourner sur la terre des

vivants, la Mission qu’Il m’a impartie n’ayant pas été accomplie.”

 

Encore dans une autre vision, la tempête faisait rage autour de moi, et voici, je m’étais tenu

debout sur un plancher flottant sur I ’inondation par crues torrentielles. Et je contemplais

l’immensité de la grandeur de Dieu dans Son courroux qui se manifeste même à travers les

intempéries.  Soudain la voix du Seigneur me dit: “Regarde les eaux”. Mes yeux scrutant les

eaux, je voyais des cadavres humains qui passaient inexorablement devant moi, et la voix du

Seigneur s’est fait entendre, disant: “Je te rends responsable de leur sort.”

 

Depuis plus de trois (3) décennies, des silences assourdissants résonnaient fortement à mon âme comme un cri qui n’en finissait pas.  Malgré tout, je tenais ferme sur les promesses de Dieu malgré que je n’aie pu rencontrer encore ces Hommes et Femmes dans toute ma carrière tant ministérielle que pastorale, qu’Il m’avais promis pour Son Œuvre. Ce qui primait surtout pour moi, c’est ma vie de confiance tissée avec le Seigneur, des relations profondes d’intimité avec Lui, fortement persuadé que je verrai un jour s’accomplir dans ma vie Ses promesses avant que mon Maître me rappelle à Lui.